mardi, juillet 15, 2025

Proverbe: Eduquer une femme, c'est éduquer un village.

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Un nouveau Pape pour l’Église catholique : Mgr Robert Francis Prevost, élu lors du conclave de 2025 

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La fumée blanche s’est élevée au-dessus de la Chapelle Sixtine ce 8 mai 2025 vers 18h, marquant la fin du conclave et l’élection du nouveau souverain pontife de l’Église catholique. Le cardinal Robert Francis Prevost, 69 ans, jusqu’à présent Préfet du Dicastère pour les évêques, originaire des États-Unis, a été élu Pape sous le nom de Léon XIV par les 133 cardinaux électeurs réunis depuis le 7 mai 2025. Il a été élu au quatrième tour de scrutin, à l’issue du deuxième jour de conclave.

Le nouveau souverain pontife a choisi le nom de Léon XIV en acceptant de devenir le 267e successeur de l’apôtre saint Pierre. Il devient le premier pape nord-américain. Il succède au pape François qui est décédé le 21 avril 2025, après douze ans de pontificat.

Mgr Giovanni Battista Re, doyen du Collège des cardinaux, a demandé au nouveau pape s’il acceptait la charge et quel nom il souhaitait porter. Mgr Dominique Mamberti, en tant que cardinal protodiacre, a été chargé d’annoncer au monde l’élection du nouveau pape depuis le balcon de la basilique Saint-Pierre, et a prononcé la célèbre formule « Habemus papam ».

Qui est le cardinal Prevost, élu lors du conclave 2025 ?

Né à Chicago en 1955, le cardinal Robert Prevost était jusqu’à présent Préfet du Dicastère pour les évêques, connu pour son engagement missionnaire, son attachement à la proximité avec le peuple et son action en faveur des plus démunis et des migrants. Religieux augustin, il a passé près de vingt ans comme missionnaire au Pérou, où il a exercé des responsabilités pastorales importantes, notamment comme évêque de Chiclayo. Il a également été prieur général de l’Ordre de Saint-Augustin, puis préfet du Dicastère pour les évêques à Rome, un poste clé dans la nomination des évêques du monde entier. Il a été nommé cardinal par le pape François, en septembre 2023.

Sa devise épiscopale :  dans Celui qui est Un, être unis

Choix du nom de règne

Le choix de « Léon XIV » fait référence à Léon XIII, connu pour son engagement social, indiquant une volonté de continuité sur ces thèmes.

messe pro ecclesia

Léon XIV a déjà célébré sa première messe privée ce vendredi 9 mai 2025 dans la chapelle Sixtine, en présence des cardinaux. Lors de cette messe, il a prononcé une homélie dans laquelle il a déploré le recul de la foi au profit de « certitudes comme la technologie, l’argent, le succès, le pouvoir, le plaisir », soulignant l’urgence de sa mission pastorale.

la messe d’inauguration du 18 mai 2025

Le Vatican a annoncé que la messe d’inauguration du pontificat de Léon XIV, sur la place Saint-Pierre, aura lieu le 18 mai. En 2013, la messe d’inauguration du pape François avait attiré plus de 150 000 fidèles et rassemblé de nombreux chefs d’État. Devant des milliers de fidèles, de dignitaires religieux et de chefs d’État venus du monde entier, la célébration, riche en traditions et en symboles, soulignera l’unité de l’Église catholique et les attentes placées en ce nouveau pape.

les temps forts de la messe d’inauguration

La messe d’inauguration comprend plusieurs temps forts : la remise du pallium, symbole du fardeau du Christ et de la mission pastorale du pape, ainsi que la remise de l’anneau du pêcheur, représentant l’autorité de Saint Pierre. Les cardinaux présents manifesteront ensuite leur obédience au nouveau pontife, signe de leur fidélité et de l’unité de l’Église autour de lui.

Biographie du pape Léon XIV

Le cardinal américain Mgr Robert Francis Prevost, OSA, a été élu Pape le 8 mai 2025 sous le nom de Léon XIV. Né à Chicago en 1955, il s’est illustré par un parcours international entre missions au Pérou,[…]

Messages et hommages des évêques français pour l’éléction du pape Léon XIV

Élection du nouveau Pape : la Conférence des évêques de France rend grâce pour l’élection du pape Léon XIV

Avec tous les catholiques du monde, les catholiques de France reçoivent Léon XIV avec gratitude. Il est désormais le pasteur que Dieu donne à son Église.

Source: https://eglise.catholique.fr

A PARIS, MEETING DE SOUTIEN AU CAPITAINE IBRAHIM TRAORE A LA PLACE DE LA REPUBLIQUE DANS LE CADRE DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE SOUTIEN AU CHEF DE L’ETAT BURKINABE

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(Paris – 30 avril 2025) Faisant écho aux meetings de soutien au Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré qui se sont déroulés dans de nombreuses villes au Burkina Faso et un peu dans le monde, ce mercredi 30 avril 2025, des burkinabè, des ressortissants des pays de l’AES, des panafricanistes et des sympathisants de la souveraineté de l’Afrique se sont retrouvés Place de la République à Paris pour exprimer leur soutien et leur solidarité au du Chef de l’Etat burkinabè.

D’une seule voix, les participants clamé leur foi en la vision d’émancipation de souveraineté et de développement du Capitaine Ibrahim Traoré.

Tour d’horizon du meeting en images.

Apollinaire Baghnyan

Service Relations Publiques/Presse

Ambassade du Burkina Faso à Paris

Burkina Faso : Compte rendu du Conseil des ministres du 02 mai 2025

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Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le vendredi 02 mai 2025, en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 12 H 07 mn, sous la présidence de Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu une communication orale, procédé à des nominations et autorisé des missions à l’étranger.

𝐈. 𝐃𝐄𝐋𝐈𝐁𝐄𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒
𝐈.𝟏. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐏𝐑𝐄𝐒𝐈𝐃𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐔 𝐅𝐀𝐒𝐎

Le Conseil a adopté un décret portant 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐢𝐦𝐦𝐞𝐫𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐨𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 é𝐥è𝐯𝐞𝐬 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐱𝐚𝐦𝐞𝐧𝐬 𝐬𝐜𝐨𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬.
L’Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous (IPEQ) prévoit dans le cadre de sa composante 7 « 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐬𝐜𝐢𝐩𝐥𝐢𝐧𝐞 𝐬𝐜𝐨𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞𝐭é 𝐝𝐞𝐬 é𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 », une immersion patriotique obligatoire pour les élèves admis aux examens scolaires.
Ce décret vise à instituer une immersion patriotique obligatoire au profit des élèves admis au Brevet d’études du premier cycle (BEPC), au Certificat d’aptitude professionnelle (CAP) et au Baccalauréat. Cette immersion se déroulera dans des centres de formation spécifiques et permettra d’inculquer aux bénéficiaires, en plus des connaissances scientifiques et techniques, des valeurs civiques, disciplinaires, patriotiques et des réflexes d’autodéfense à travers des formations théorique, physique et sportive.

𝐋𝐚 𝐩𝐡𝐚𝐬𝐞 𝐩𝐢𝐥𝐨𝐭𝐞 𝐝é𝐛𝐮𝐭𝐞𝐫𝐚 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞𝐬 é𝐥è𝐯𝐞𝐬 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐬 𝐚𝐮 𝐁𝐚𝐜𝐜𝐚𝐥𝐚𝐮𝐫é𝐚𝐭, 𝐬𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟓.
Cette action s’inscrit dans la dynamique de la construction de la citoyenneté, de la refondation de la société burkinabè et du développement ou consolidation de la fibre patriotique.
L’adoption de ce décret consacre l’institution d’une immersion patriotique obligatoire pour les élèves admis aux examens scolaires au Burkina Faso, en vue de construire des modèles de citoyens et de patriotes qui impacteront positivement la vie de la Nation.

𝐈.𝟐. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒

Le Conseil a adopté trois (03) rapports.
𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 est relatif à un projet de Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) 2026-2028.

Le DPBEP a pour objectif de renforcer la discipline macro-budgétaire en définissant une trajectoire des finances publiques en lien avec les indicateurs macroéconomiques et financiers.
Le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle 2026-2028 a été conçu dans la perspective de l’élaboration du projet de Loi de finances initiale, exercice 2026, en s’appuyant sur trois scénarii : le scénario optimiste, le scénario pessimiste et le scénario de base.
Le scénario de base a été bâti sous l’hypothèse du maintien d’une bonne dynamique de la reconquête du territoire et d’une campagne agricole favorable. Ainsi, l’activité économique connaîtrait une croissance projetée à 7,2% en 2026, à 6,1% en 2027 et à 5,7% en 2028.

Les recettes budgétaires totales projetées sont de 3 431,5 milliards F CFA en 2026, de 3 732,5 milliards F CFA en 2027 et de 4 090,5 milliards F CFA en 2028, soit un accroissement de 9,2%.
Les dépenses budgétaires totales se chiffreraient à 3 918,3 milliards F CFA en 2026, à 4 262,8 milliards F CFA en 2027 et à 4 666,7 milliards F CFA en 2028, soit un taux annuel moyen de progression de 9,1%.
Quant à l’épargne budgétaire, elle serait de 673,7 milliards F CFA en 2026, correspondant à une amélioration de 114,6 milliards F CFA par rapport à 2025. En 2027 et 2028, elle ressortirait respectivement à 857,1 milliards F CFA et à 1 123,8 milliards F CFA.

Enfin, le déficit budgétaire ressortirait à 486,8 milliards F CFA en 2026, à 530,3 milliards F CFA en 2027 et à 576,2 milliards F CFA en 2028. Rapporté au Produit intérieur brut, le déficit représenterait 3,0% sur toute la période.
L’élaboration du Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle 2026-2028 contribue à une meilleure allocation des ressources mobilisables en cohérence avec les orientations stratégiques des politiques publiques et des priorités du Gouvernement. Son élaboration tient compte du contexte national, international ainsi que des engagements internationaux du Burkina Faso.

𝐋𝐞 𝐝𝐞𝐮𝐱𝐢è𝐦𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 est relatif à un projet de décret portant autorisation de prise de participation de la Caisse des dépôts et d’investissements du Burkina Faso (CDI-BF) dans le capital social de la Société pharmaceutique PROPHARM SA.
Pour répondre efficacement à la demande en médicaments, l’Etat burkinabè a décidé d’acquérir la Société pharmaceutique PROPHARM SA par le biais de la Caisse des dépôts et d’investissements du Burkina Faso.
Ce décret autorise la CDI-BF à acquérir la totalité des parts de l’actionnaire majoritaire pour un montant de 140 millions F CFA représentant 70% du capital social.

Cette acquisition vise à renforcer l’offre locale en produits pharmaceutiques et à réduire la dépendance du pays aux importations. Elle permet également d’optimiser la production de PROPHARM, d’améliorer la distribution des médicaments essentiels et de garantir un meilleur accès des populations aux soins de santé.
L’adoption de ce décret permet la prise de participation de la Caisse des dépôts et d’investissements du Burkina Faso dans le capital social de la Société pharmaceutique PROPHARM SA.

𝐋𝐞 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬𝐢è𝐦𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 est relatif à un projet de décret portant nomination d’un Membre indépendant du Conseil de surveillance de la Caisse des dépôts et d’investissements du Burkina Faso (CDI-BF).
L’adoption de ce décret permet la nomination de Monsieur Ragnagnewendé Stanislas Davy OUEDRAOGO, Economiste, Membre indépendant au Conseil de surveillance de la Caisse des dépôts et d’investissements du Burkina Faso, pour un premier mandat de trois (03) ans.

𝐈.𝟑. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐍𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐐𝐔𝐄, 𝐃𝐔 𝐓𝐑𝐀𝐕𝐀𝐈𝐋 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐏𝐑𝐎𝐓𝐄𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐒𝐎𝐂𝐈𝐀𝐋𝐄

Le Conseil a adopté un décret portant création, attributions, composition, organisation et fonctionnement du dispositif de pilotage de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance.
Ce décret est une relecture du décret n°2017-0836/PRES/PM/MFPTPS/MINEFID du 19 septembre 2017 portant création, attributions, composition, organisation et fonctionnement du dispositif de pilotage de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance.
Cette relecture vise à améliorer le dispositif de pilotage de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance notamment la correction des insuffisances relatives au suivi de la mise en œuvre des activités au sein des départements ministériels et des institutions.

Les principales innovations de ce décret sont :
 la suppression du Comité de pilotage de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance ;
 la création des Comités de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance (CMABG) des ministères et institutions ;
 la prise en compte des Directeurs régionaux de la Fonction publique, des Directeurs généraux des études et des statistiques sectorielles et des Directeurs du développement institutionnel et de l’innovation des ministères à titre de membres observateurs du Conseil national de la Modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance (CN-MABG) ;
 la tenue d’une session ordinaire unique du CN-MABG au plus tard à la fin du deuxième trimestre de chaque année.
L’adoption de ce décret permet au Burkina Faso de se doter d’un meilleur dispositif de mise en œuvre et de suivi-évaluation des stratégies de modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance.

𝐈𝐈. 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐔𝐍𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐎𝐑𝐀𝐋𝐄

II. Le ministre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme a fait au Conseil le bilan de la 29e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), tenue du 22 février au 1er mars 2025.
Cette édition a connu une forte participation des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, des universitaires, des professionnels des médias, des Hommes de culture et un fort engouement populaire.
A cette 29e édition, plus de 625 séances de projection ont été réalisées en huit (08) jours dans les 12 salles retenues et 36 autres séances de projection ont eu lieu en plein air sur plusieurs sites à Ouagadougou et à Yako dans le cadre du « FESPACO hors les murs ». D’autres activités ont également été organisées à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso.

Au titre du palmarès officiel et des prix spéciaux, un montant de 178 000 000 F CFA a été réparti aux lauréats.
Après 28 ans, le Burkina Faso a remporté le Grand prix, l’Etalon d’or de Yennenga 2025 dans la catégorie fiction long métrage avec le film « KATANGA, la danse des scorpions » du réalisateur Dani KOUYATE. Le Grand prix du Président du Faso du meilleur film burkinabè a été remporté par le film « YIKIAN (Quittez) » de Alidou BADINI.
Le FESPACO 2025 a connu également la participation des professionnels du cinéma et des cinéphiles de 53 pays du monde et a permis de faire de Ouagadougou en l’espace d’une semaine, une place forte de la culture et des identités panafricaines.
Le Conseil félicite les organisateurs pour leur engagement qui a fortement contribué à la réussite de cette biennale du cinéma africain.

𝐈𝐈𝐈. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒
𝐈𝐈𝐈. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐄𝐒 𝐅𝐎𝐍𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐈𝐍𝐃𝐈𝐕𝐈𝐃𝐔𝐄𝐋𝐋𝐄𝐒
𝐀. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐃𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐓𝐄𝐑𝐑𝐈𝐓𝐎𝐑𝐈𝐀𝐋𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐌𝐎𝐁𝐈𝐋𝐈𝐓𝐄

 Monsieur Martin BAKO, Mle 118 960 F, Administrateur civil, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Haut-commissaire de la province des Balé ;
 Monsieur Moussa TRAORE, Mle 200 380 N, Secrétaire administratif, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Préfet du département de Sanaba, province des Banwa ;
 Monsieur Amédée PARE, Mle 75 585 S, Administrateur civil, 1ère classe, 15e échelon, est nommé Préfet du département de Koudougou, province du Boulkiemdé.

𝐁. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒

 Monsieur Mamadou OUEDRAOGO, Mle 210 801 S, Contrôleur du trésor, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Comptable principal des matières de l’Institut des finances publiques du Burkina (IFPB).

𝐂. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐔𝐍𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐀𝐑𝐓𝐒 𝐄𝐓 𝐃𝐔 𝐓𝐎𝐔𝐑𝐈𝐒𝐌𝐄

 Monsieur Eric Albert Wend-Pouiré SAWADOGO, Mle 247 649 U, Administrateur du cinéma et de l’audiovisuel, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Secrétaire général de l’Agence burkinabè de la cinématographie et de l’audiovisuel ;

 Monsieur Tiraogo YIOUGO, Mle 59 841 Z, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Directeur des affaires financières de l’Agence burkinabè de la cinématographie et de l’audiovisuel ;
 Monsieur Babou Eugène IDO, Mle 238 398 F, Administrateur des services touristiques, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme des Banwa ;

 Monsieur Ernest DAO, Mle 345 072 T, Administrateur des services touristiques, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme de la Kompienga ;
 Monsieur Sanou DEMBELE, Mle 282 364 U, Conseiller d’éducation, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme de la Kossi ;
 Monsieur Ahmed OUEDRAOGO, Mle 238 610 X, Conseiller en gestion du patrimoine culturel, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme du Sanmatenga ;
 Monsieur Idrissa Oumarou DICKO, Mle 86 416 F, Professeur certifié des écoles, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme du Soum.

𝐃. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐇𝐔𝐌𝐀𝐍𝐈𝐓𝐀𝐈𝐑𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐒𝐎𝐋𝐈𝐃𝐀𝐑𝐈𝐓𝐄 𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐀𝐋𝐄

 Madame Hortence Evelyne YELEMOU, Mle 92 947 Y, Conseiller en sciences et techniques de l’information et de la communication, 1ère classe, 9e échelon, est nommée Directrice de la Communication et des relations presse.

𝐄. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐍𝐒𝐄𝐈𝐆𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐒𝐔𝐏𝐄𝐑𝐈𝐄𝐔𝐑, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐑𝐄𝐂𝐇𝐄𝐑𝐂𝐇𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐈𝐍𝐍𝐎𝐕𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

 Monsieur Oumarou ZALLE, Mle 257 190 V, Enseignant-chercheur, catégorie P, 1er échelon, est nommé Président de l’Université virtuelle du Burkina Faso (UV-BF) ;
 Monsieur Boukary NEBIE, Mle 286 831 S, Enseignant-chercheur, catégorie P, classe initiale, 3e échelon, est nommé Directeur de l’information et de l’orientation scolaire et professionnelle (DIOSP).

Le Porte-parole du Gouvernement,

Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO
Chevalier de l’Ordre de l’Etalon

Soudan : l’impasse diplomatique perdure malgré la conférence de Londres

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ANALYSE. Ce rendez-vous diplomatique n’est pas parvenu à trouver de solution dans cette guerre qui s’enlise depuis deux ans.

ucun pourparler direct n’a eu lieu entre les Forces armées soudanaises (FAS) et les Forces de soutien rapide (FSR) depuis la suspension du processus de Djeddah le 3 décembre 2023. Cette tentative de médiation, chapeautée par les États-Unis et l’Arabie saoudite, continue à être qualifiée du meilleur format essayé jusqu’à présent, bien que le manque d’acteurs civils et humanitaires soit regretté. Depuis, les diverses initiatives pour ramener la paix ont échoué les unes après les autres.
Dans ce contexte, la conférence ministérielle de Londres, coorganisée par le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Union européenne et l’Union africaine le 15 avril, date du deuxième anniversaire de la guerre entre les paramilitaires et l’armée, a affiché des objectifs sans ambition sur la situation humanitaire, la protection des civils, le processus politique ou encore la formation d’un groupe de contact pour assurer le lien entre les différentes initiatives de paix. Mais le principal soutien des FSR, les Émirats arabes unis, et celui des FAS, l’Égypte, n’ont réussi ni à s’entendre, empêchant la création de ce groupe, ni à aboutir à un communiqué final commun. Seuls les organisateurs ont paraphé la déclaration.

Le communiqué final fait l’impasse sur les attaques en cours

« Ce document n’apporte rien de nouveau et fait l’impasse sur les éléments nécessaires, à commencer par le camp de déplacés Zamzam qui était en train d’être réduit en cendres au moment de ce rendez-vous. Ni le siège sur El-Fasher, la capitale du Nord-Darfour, ni les livraisons d’armes n’ont été mentionnés », déplore Nathaniel Raymond, directeur exécutif du Humanitarian Research Lab de la Yale School of Public Health.

« Les participants ont évoqué une approche sur le long terme pour revenir à la stabilité alors que des personnes meurent sur les routes en tentant d’échapper aux attaques des FSR. C’est comme si on avait parlé de développement économique dans le futur en plein cœur du génocide rwandais », poursuit le chercheur. La prise du camp de Zamzam par les hommes du général Mohamed Hamdan Dagalo surnommé « Hemeti » le 13 avril a déplacé au moins 400 000 individus. Beaucoup d’entre eux pensaient pourtant y avoir trouvé refuge après avoir fui de récents assauts à El-Fasher et dans les villages alentour. Le format de la conférence a en outre reçu de nombreuses critiques. Aucun acteur soudanais n’a été convié, ce qui a exaspéré le gouvernement pro-armée du général Abdel Fattah al-Burhane relocalisé à Port-Soudan, également furieux contre la présence des Émiratis.

Se recentrer sur les racines du conflit

« C’est une manière très coloniale de procéder, dénonce Hamid Khalafallah, doctorant spécialiste des transitions démocratiques et les mouvements populaires en Afrique. Nous avions peu d’espoir que cela fonctionne au vu de l’espace donné aux soutiens régionaux des deux factions belligérantes tout en sachant que Londres n’a pas assez d’influence pour exercer une pression sur les Émirats ou l’Égypte. » Cette rencontre manquée ne maintient pas seulement le statu quo, elle pourrait même aggraver la situation en « accroissant le scepticisme face à l’échec continu de la diplomatie internationale au Soudan », redoute Hamid Khalafallah. Les Égyptiens essaient néanmoins d’organiser prochainement une deuxième session de la rencontre du Caire qui avait permis en juillet 2024, pour la première fois, de réunir des civils de différents bords : des soutiens de l’armée et des FSR ainsi que des personnalités neutres. 

En février dernier, l’Union africaine a échoué à tenir un tel échange et a dû se résoudre à scinder les convives en deux groupes – respectivement considérés comme pro-FAS et pro-FSR –, tandis que les participants en réclamaient un troisième pour les non-alignés. De leur côté, les Américains et les Saoudiens aimeraient ressusciter le processus de Djeddah. Un changement de méthode s’impose toutefois. « Les pourparlers comme le format de Djeddah se concentrent sur l’étincelle qui a déclenché les combats, à savoir la question de l’intégration des FSR dans les troupes régulières. Or, pour arrêter les affrontements, il faut s’attaquer aux véritables causes de la guerre, telles que la volonté des islamistes de revenir au pouvoir, le souhait des FSR d’étendre leur influence et les tentatives des FAS de mettre fin à la révolution », détaille l’analyste Kholood Khair.

La solution passera inévitablement par une plus vaste inclusion des représentants invités à la table des négociations. « Il faut qu’une base civile plus large soit considérée comme un acteur majeur plutôt que de continuer à favoriser les élites », recommande Kholood Khair. La chercheuse fait notamment référence à l’ancien mouvement Taqaddum, devenu Somoud, qui demeure majoritairement dirigé par les mêmes responsables politiques ayant pactisé avec les militaires au lendemain de l’éviction du dictateur Omar el-Béchir en 2019. Le chef de ce collectif n’est autre que l’ex-Premier ministre Abdallah Hamdok.

Les États-Unis restent, selon beaucoup d’observateurs, les mieux placés pour convaincre les principaux fournisseurs d’armes de s’engager pour la paix. « Le problème avec l’administration Trump, c’est qu’il instaure la paix par le biais d’accords commerciaux comme en Palestine et en Ukraine. Il faut donc que des acteurs comme le Royaume-Uni et l’Union européenne qui collaborent avec les États-Unis parviennent à contrebalancer l’influence de Donald Trump sur le processus de paix », espère Hamid Khalaffah. Sans tomber, une nouvelle fois, dans l’écueil de la compétition entre médiateurs. « Chacun veut s’approprier le processus de paix et sa réussite », conclut un participant à la conférence de Londres.

Source: www.lepoint.fr

Kundé 2025 : Floby remporte son 3e Kundé d’or

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Le commissariat général des Kundé a tenu la 23e édition des Kundé dans la nuit du vendredi 25 avril 2025 à Ouagadougou.

Les temps forts de la 23e édition des Kundé étaient un cocktail dinatoire, une prestation d’artistes, un défilé de mode et une soirée de remise de trophées dans la nuit du l’évènement a eu lieu le vendredi 25 avril 2025 à Ouagadougou. La soirée de remise des prix a été marquée par la présence d’une délégation gouvernementale conduite par le ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale, Emile Zerbo. En lice pour le Kundé d’or de la 23e, Floby, Kayawoto et Miss Tanya. A l’issue des travaux du commissariat général des Kundé, Floby a été distingué sacré lauréat de la 23e édition. Il a remporté le Kundé d’or pour son dernier opus « Burkina Faso » paru en 2024. Ce qui lui fait un total de 3 Kundé d’or en 18 ans de carrière musicale. En plus de ce 3e Kundé, il est reparti avec le Kundé de la meilleure chanson moderne d’inspiration traditionnelle avec son titre, Ouaga jeune et de l’artiste le plus joué en discothèque. Le lauréat du Kundé d’or de la 23e édition, Florent Belemgnèré alias Floby s’est réjoui pour la performance et la reconnaissance à travers le Kundé. Il a dédié son prix aux Burkinabè, mais particulière-ment aux Forces Combattantes.
« Ce trophée revient à nos FDS et VDP qui sont sur le champ de bataille nuit et jour et aussi à tous les Burkinabè, d’où le nom d’ailleurs de mon dernier album », a-t-il souligné.

Hommage aux FDS

Une délégation gouvernementale aux côtés des différents lauréats des Kundé.

Il a confié qu’il va toujours participer au Kundé tant que son album est nominé. Quant au Kundé du public du partenaire officiel Orange Burkina, il est revenu à Miss Tanya en plus de son Kundé du meilleur artiste féminin. D’autres artistes ont été distingués lors de la cérémonie. Il s’agit, entre autres, du Kundé du meilleur artiste traditionnel (Safif Widga), Kundé du meilleur artiste de musique religieuse (Sœur Anne Marie Kaboré), Kundé du meilleur clip vidéo (Pananki) de Tanya, Kundé de la révélation (Francky FP), Kundé du meilleur espoir Kid Boss) et le Kundé du meilleur featuring burkinabè (Commando de Kayawoto feat Privat). Le palmarès au niveau des prix spéciaux a concerné 5 catégories. Le Kundé du meilleur artiste de la diaspora a été remporté par Kandy Guira de la France. Le Kundé du meilleur artiste étranger vivant au Burkina Faso est revenu à Mister Koff de la Côte d’Ivoire. L’artiste Himra de la Côte d’Ivoire a été sacré meilleur artiste de l’Afrique de l’Ouest. Pour le Kundé du meilleur artiste de l’Afrique centrale, c’est Bad Nova du Cameroun qui a été le lauréat. Le Kundé du meilleur featuring de l’intégration africaine (Ne parle pas de tes projets) de Smarty feat Korka Dieng du Sénégal a été sacré.

A l’occasion, des Kundé d’honneur ont été décernés à des artistes invités comme le groupe Makoma du RD Congo et des Pays-Bas, Zitany Neil du Congo, Roger Wango du Burkina, Oumou Dioubaté du Burkina et Espoir 2000 de la Côte d’Ivoire. Le directeur du plateau artistique des Kundé, Ismaël Zongo alias Commandant Papus a soutenu que le Kundé doit être un trophée qui contribue à booster l’artiste. Il a indiqué qu’il n’y a pas d’âge pour faire de la musique.
« Nous pouvons être un artiste auteur compositeur et produire de la musique qui parle à toutes les générations », a-t-il dit.

Source: www.sidwaya.info

Le pape François est mort ce lundi matin à l’âge de 88 ans, a annoncé le Vatican

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VATICAN CITY, VATICAN - APRIL 20: Pope Francis appears on the central lodge of St. Peter's Basilica to bestow the Urbi et Orbi blessing at the end of the Easter mass in St. Peter's Square at the Vatican Sunday, April 20, 2025 (MaxPPP TagID: dpaphotoseight118915.jpg) [Photo via MaxPPP]

Le pape François, populaire chez les fidèles mais confronté à une farouche opposition au sein même de l’Eglise catholique, est mort lundi matin au Vatican à l’âge de 88 ans.

« Ce matin à 07h35 (05H35 GMT), l’évêque de Rome, François, est revenu à la maison du Père. Toute sa vie a été consacrée au service du Seigneur et de son Église », a annoncé dans un communiqué le cardinal camerlingue Kevin Farrell, dans un communiqué publié par le Vatican.

Le pontife argentin était sorti de l’hôpital le 23 mars après avoir été hospitalisé pendant 38 jours pour une pneumonie bilatérale, sa quatrième et plus longue hospitalisation depuis le début du pontificat en 2013.

Dimanche, à l’occasion des célébrations de Pâques, il était apparu très affaibli mais s’était offert un bain de foule en papamobile au milieu de milliers de fidèles sur la place Saint-Pierre.

Le visage fermé, visiblement très éprouvé, il avait toutefois été contraint de déléguer la lecture de son texte à un collaborateur, ne pouvant prononcer que quelques mots, la voix essoufflée.

Problèmes de hanche, douleurs au genou, opérations, infections respiratoires: le pape, qui se déplaçait en fauteuil roulant, affichait une santé déclinante mais avait tenu à maintenir un rythme effréné, en dépit des avertissements de ses médecins.

Une constitution prévoit des obsèques pendant neuf jours et un délai de 15 à 20 jours pour organiser le conclave, lors duquel les cardinaux électeurs, dont près de 80% choisis par François lui-même, auront la lourde tâche d’élire son successeur. Entre-temps, c’est le cardinal camerlingue, l’Irlandais Kevin Farrell, qui assurera l’intérim.

François avait révélé fin 2023 qu’il souhaitait être inhumé dans la basilique Sainte-Marie Majeure, dans le centre de Rome, plutôt que dans la crypte de la basilique Saint-Pierre, une première depuis plus de trois siècles.

En outre, le Vatican a publié en novembre un rituel simplifié pour les funérailles papales,  notamment l’inhumation dans un simple cercueil de bois et de zinc, signant la fin des trois cercueils imbriqués en cyprès, en plomb et en chêne.

En 12 ans de pontificat, le premier pape jésuite et sud-américain de l’Histoire s’est engagé sans relâche pour la défense des migrants, l’environnement et la justice sociale sans remettre en cause les positions de l’Eglise sur l’avortement ou le célibat des prêtres.

Réformes multiples

Les alertes sur sa santé s’étaient multipliées, tout en alimentant les spéculations sur une éventuelle renonciation dans la lignée de son prédécesseur Benoît XVI.

Le chef spirituel de près de 1,4 milliard de catholiques avait connu deux hospitalisations en 2023, dont une pour une lourde opération de l’abdomen, et avait été contraint d’annuler plusieurs engagements ces derniers mois.

Dès ses 21 ans, Jorge Bergoglio avait souffert d’une pleurésie aiguë et les chirurgiens durent procéder à l’ablation partielle de son poumon droit.

Amateur de musique et de football, François, allergique aux vacances, enchainaît souvent une dizaine de rendez-vous par jour. Il avait même effectué en septembre le plus long voyage de son pontificat, un périple de 12 jours aux confins de l’Asie du sud-est et de l’Océanie.

A Rome comme à l’étranger, le « pape du bout du monde » élu le 13 mars 2013 a dénoncé sans relâche toutes les formes de violence, de la traite des êtres humains aux catastrophes migratoires en passant par l’exploitation économique.

Le 11 février, il avait encore condamné les expulsions massives de migrants voulues par le président américain Donald Trump, s’attirant les foudres de la Maison Blanche.

Opposant acharné au commerce des armes, l’ancien archevêque de Buenos Aires est toutefois resté impuissant face aux conflits en Ukraine ou au Proche-Orient, malgré d’innombrables appels à la paix.

Ce politique madré au franc-parler abrasif a aussi voulu réformer une Curie – le gouvernement central du Saint-Siège – rongée par l’inertie, y développer la place des femmes et des laïcs et assainir les sulfureuses finances du Vatican.

Face au drame de la pédocriminalité dans l’Eglise, il a levé le secret pontifical et obligé religieux et laïcs à signaler les cas à leur hiérarchie. Sans convaincre les associations de victimes, qui lui ont reproché de ne pas être allé assez loin.

« Périphéries »

Attaché au dialogue inter-religieux, notamment avec l’islam, il a défendu jusqu’au bout une Eglise « ouverte à tous », s’attirant les foudres des mouvements populistes pour son soutien aux migrants.

Si ce pape au style chaleureux a suscité une grande ferveur populaire, souhaitant chaque dimanche « bon appétit » aux fidèles place Saint-Pierre, il fut aussi durement critiqué par une opposition conservatrice pour son supposé manque d’orthodoxie et une gouvernance jugée autoritaire.

En témoignent les levées de boucliers suscitées par certaines décisions, comme l’ouverture des bénédictions de couples de même sexe fin 2023, ou la restriction des célébrations de la messe en latin.

Ces critiques furent aussi alimentées par l’ombre de Benoît XVI, qui a résidé au Vatican jusqu’à sa mort fin 2022, nourrissant la saga des « deux papes ».

La « guerre civile » au sein de l’Eglise a atteint des sommets avec les diatribes de certains cardinaux, notamment avant le Synode sur l’avenir de l’Eglise fin 2023.

Le style détonant de François, qui a préféré un sobre deux-pièces de 70m² aux ors du palais apostolique, lui a aussi valu d’être accusé de désacraliser à l’excès la fonction.

Le 266e pape, davantage intéressé par les « périphéries » de la planète que par les grands pays occidentaux, a aussi réorienté les débats au sein de l’Eglise, à l’image de son encyclique écologiste et sociale « Laudato si » en 2015, réquisitoire très remarqué contre la finance exaltant la sauvegarde de la planète.

Source: www.lindependant.fr

CAN U17 Maroc 2025 : Le Maroc champion, Ashsaraf Loukman TAPSOBA soulier d’or

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La CAN U17 Maroc 2025 s’est achevée ce samedi 19 avril 2025 au stade El Bachir de Mohammedia, avec le sacre du Maroc face au Mali. Après un score nul et vierge à l’issue du temps réglementaire, les Marocains se sont montrés plus adroits lors de la séance des tirs au but, réussissant 4 tentatives contre 1 pour les Maliens. Ils succèdent ainsi aux Lionceaux de la Téranga du Sénégal, vainqueurs de l’édition 2023 en Algérie. Les Éléphanteaux de la Côte d’Ivoire complètent le podium en terminant à la troisième place, tandis que les Étalons U17 se classent quatrièmes.

Mais pour le Burkina Faso, au-delà de cette quatrième place, un nom reste gravé dans toutes les mémoires : Ashsaraf Loukman TAPSOBA, soulier d’or de la compétition. Avec 7 réalisations, ce jeune prodige burkinabè a non seulement partagé la tête du classement des buteurs avec l’Ivoirien Alynho Haidara, mais il a surtout marqué l’histoire en égalant le record du plus grand nombre de buts inscrits lors d’une phase finale de CAN U17. Si les Étalons U17 n’ont pas décroché de médaille, leur parcours illustre un potentiel remarquable et un avenir des plus prometteurs.

À l’horizon, se profile la Coupe du Monde U17 au Qatar, prévue du 5 au 27 novembre 2025. Le Burkina Faso y prendra part. Place donc à la préparation des 10 sélections africaines qualifiées pour ce grand rendez-vous mondial.

DCRP MSJE

Burkina Faso : Compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 16 avril 2025

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Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le mercredi 16 avril 2025, en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 11 H 39 mn, sous la présidence de Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu des communications orales, procédé à des nominations et autorisé des missions à l’étranger.

𝐈. 𝐃𝐄𝐋𝐈𝐁𝐄𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒
𝐈.𝟏. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐆𝐑𝐈𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐑𝐄𝐒𝐒𝐎𝐔𝐑𝐂𝐄𝐒 𝐀𝐍𝐈𝐌𝐀𝐋𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐇𝐀𝐋𝐈𝐄𝐔𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒

𝐀𝐍𝐈𝐌𝐀𝐋𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐇𝐀𝐋𝐈𝐄𝐔𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒

Le Conseil a adopté un décret portant approbation des statuts particuliers de l’Agence Faso abattoirs.
L’adoption de ce décret permet à l’Agence Faso abattoirs de disposer de textes règlementaires en vue d’accomplir efficacement ses missions, conformément au décret n°2014-614/PRES/PM/MEF/MFPTSS du 24 juillet 2014 portant statut général des Etablissements publics de l’Etat à caractère économique.

𝐈.𝟐. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒

Le Conseil a adopté un décret portant déclaration d’utilité publique urgente, le projet de construction d’une Unité de formation et de recherche en sciences et techniques (UFR/ST) au Centre universitaire (CU) de Dori et d’une cité universitaire à Dori.

Dans le cadre de ces projets de construction, un site d’environ cent (100) ha a été identifié dans la commune de Dori et l’étude d’impact environnemental finalisée depuis décembre 2021. Cependant, des difficultés liées à la mobilisation foncière et à la situation sécuritaire n’ont pas permis le démarrage effectif des travaux à ce jour.
La réalisation des travaux ne pouvant se faire sans la libération de l’emprise du site par les personnes affectées, la mise en œuvre d’une procédure urgente en matière d’expropriation s’avère nécessaire.
Ce décret vise à déclarer d’utilité publique urgente, le projet de construction de cette Unité de formation et de recherche en sciences et techniques et de la cité universitaire à Dori. Il permettra la mobilisation diligente du foncier d’une part, et le respect des engagements vis-à-vis des partenaires à travers l’érection des ouvrages prévus, d’autre part.

L’adoption de ce décret permet de déclarer d’utilité publique urgente, le projet de construction de l’Unité de formation et de recherche en sciences et techniques au Centre universitaire de Dori et d’une cité universitaire à Dori en vue de la libération de l’emprise du site.

𝐈.𝟑. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐒𝐄𝐂𝐔𝐑𝐈𝐓𝐄

Le Conseil a adopté un rapport relatif à une demande d’autorisation de recrutement sur concours professionnels et directs au profit de la Police nationale, au titre de l’année 2025.
Le Conseil a marqué son accord pour le recrutement de vingt (20) Commissaires de police et de soixante (60) Officiers de police, pour les concours professionnels ainsi que le recrutement de dix (10) Commissaires de police avec des qualifications spécifiques, de dix (10) Officiers de police avec des qualifications spécifiques et de deux mille (2000) Sous-Officiers de police dont 50 mécaniciens et 50 de sexe féminin, pour les concours directs.

𝐈.𝟒. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐉𝐔𝐒𝐓𝐈𝐂𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐑𝐎𝐈𝐓𝐒 𝐇𝐔𝐌𝐀𝐈𝐍𝐒, 𝐂𝐇𝐀𝐑𝐆𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐑𝐄𝐋𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐀𝐕𝐄𝐂 𝐋𝐄𝐒 𝐈𝐍𝐒𝐓𝐈𝐓𝐔𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒

Le Conseil a adopté un rapport relatif aux projets spécifiques au titre de l’année 2025 du ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les institutions.
Ces projets spécifiques s’inscrivent dans la dynamique de reconquête du territoire national à travers la réinstallation progressive des juridictions dans leurs sièges. Ils participent également au renforcement des juridictions en moyens matériels afin d’accélérer le traitement des dossiers.

Ces projets spécifiques concernent :
 les travaux de réhabilitation du Tribunal de grande instance (TGI) de Nouna ;
 les travaux de réhabilitation de la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Nouna ;
 la réalisation des études architecturales et techniques pour les travaux de réhabilitation des Tribunaux de grande instance de Bogandé et de Tougan ;
 l’acquisition d’imprimantes au profit des juridictions.
Le coût global de ces projets spécifiques s’élève à quatre cent soixante-seize millions trois cent soixante-neuf mille sept cent quarante-huit (476 369 748) F CFA TTC.
Le financement est assuré par le budget de l’Etat, exercice 2025.

𝐈.𝟓. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐈𝐍𝐅𝐑𝐀𝐒𝐓𝐑𝐔𝐂𝐓𝐔𝐑𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐃𝐔 𝐃𝐄𝐒𝐄𝐍𝐂𝐋𝐀𝐕𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓

Le Conseil a examiné un projet de loi portant règlementation de l’exercice du métier de laboratoire du bâtiment et des travaux publics au Burkina Faso.
La Zatu n°AN VII-0044/FP/PRES du 23 juillet 1990 accorde au Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics (LNBTP) un monopole des activités d’études et de contrôles géotechniques ainsi que de contrôles techniques en vue de la garantie décennale.

Ce projet de loi vise l’ouverture de certaines activités du Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics, tout en préservant la qualité des prestations. Cette réforme est motivée par la faible capacité opérationnelle du LNBTP qui n’arrive pas à répondre à la demande et à faire face aux différentes sollicitations dans les délais contractuels requis. Elle permettra d’accompagner efficacement le Gouvernement dans la réalisation des projets structurants.
L’innovation majeure de ce projet de loi est l’ouverture des activités de laboratoire aux acteurs du secteur privé par l’institution d’agréments techniques.
Le Conseil a marqué son accord pour la transmission dudit projet de loi à l’Assemblée législative de Transition.

𝐈𝐈. 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐔𝐍𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐎𝐑𝐀𝐋𝐄𝐒

𝐈𝐈.𝟏. Le ministre de l’Economie et des finances a fait au Conseil plusieurs communications parmi lesquelles :
 une communication relative à la participation du Burkina Faso à un atelier régional sur l’échange d’informations et la coopération en matière de sécurité nucléaire pour l’Afrique de l’Ouest organisé par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), prévu du 06 au 08 mai 2025 à Cotonou, au Bénin.
Cet atelier regroupe les Douanes de la sous-région. Il vise à relever les défis régionaux dans la lutte contre le trafic illicite et les activités non autorisées impliquant des matières nucléaires et radioactives qui échappent au contrôle réglementaire.

 une communication relative à la participation du Burkina Faso à la réunion des Directeurs généraux des douanes de la Confédération des Etats du Sahel (AES), du 15 au 16 mai 2025 à Bamako au Mali, précédée de la réunion des experts des administrations des Douanes des pays de la Confédération, prévue du 13 au 14 mai 2025.
La réunion des experts porte notamment sur l’état de mise en œuvre des recommandations de la dernière réunion des Directeurs généraux des Douanes, tenue le 26 septembre 2024 à Lomé au Togo et l’analyse des orientations de la rencontre des ministres de la Confédération AES, en matière d’harmonisation des textes juridiques devant régir la libre circulation des personnes et des biens.

 une communication relative au bilan de la mise en œuvre en 2024 et à la situation d’exécution au premier trimestre de l’année 2025 du Fonds de soutien patriotique (FSP).
Au 31 décembre 2024, le montant des ressources collectées au profit du FSP s’élève à 175 685 084 312 F CFA contre 99 039 035 500 F CFA en 2023, soit une progression de 77,39 %.
En termes de dépenses, les ressources mobilisées ont permis non seulement de prendre en charge les dépenses de fonctionnement de la Brigade des Volontaires pour la défense de la Patrie (BVDP), mais également de contribuer efficacement au renforcement de la dotation des forces combattantes en équipements individuels et collectifs. Pour ces dépenses, un montant de 150 000 000 000 F CFA a été débloqué avec des paiements effectués à hauteur de 145 834 956 114 F CFA, soit un taux d’exécution de 97,22%.

Les performances réalisées au premier trimestre de l’année 2025 par le FSP restent dans les mêmes tendances que celles enregistrées à la même période en 2024. Ce sont 33 031 991 476 F CFA qui ont été mobilisés, soit une progression de 6,55% par rapport à la même période en 2024. Les dépenses exécutées sur la période s’élèvent à 25 124 700 000 F CFA, soit un taux d’engagement de 76,87%.
Le Conseil félicite tous les acteurs pour ces résultats encourageants. Il invite les ministres concernés à mettre en œuvre les actions envisagées pour optimiser la collecte et à veiller à une gestion plus efficace du Fonds.

𝐈𝐈.𝟐. Le ministre de l’Enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique a fait au Conseil une communication relative à l’organisation de la 1ère édition du Salon des métiers, de l’orientation scolaire et professionnelle (SAMOSP) prévue du 02 au 04 mai 2025 sur le site du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO).
La 1ère édition du SAMOSP est placée sous le thème « Défis de l’industrialisation et de l’autosuffisance alimentaire au Burkina Faso : dans quels métiers former pour y répondre ? ».
Le choix de ce thème vise à permettre aux structures de formation d’être en phase avec les nouvelles ambitions de notre pays.

Ce salon est organisé par Burkina Suudu Bawdè (BSB), la Maison des compétences du Burkina. Il vise à informer et à sensibiliser particulièrement la jeunesse sur les possibilités de formation professionnelle afin de lui offrir des perspectives concrètes d’insertion professionnelle.
Pour cette 1ère édition du SAMOSP, des panels thématiques sur les métiers et l’orientation professionnelle, des séances de coaching destinés aux apprenants, élèves, étudiants et demandeurs d’emplois ainsi que des partenariats entre écoles et entreprises sont prévus, l’ambition étant de favoriser l’accueil et l’accompagnement des jeunes vers une insertion professionnelle réussie.

𝐈𝐈𝐈. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒
𝐈𝐈𝐈.𝟏. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐄𝐒 𝐅𝐎𝐍𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐈𝐍𝐃𝐈𝐕𝐈𝐃𝐔𝐄𝐋𝐋𝐄𝐒
𝐀. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐆𝐑𝐈𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐑𝐄𝐒𝐒𝐎𝐔𝐑𝐂𝐄𝐒 𝐀𝐍𝐈𝐌𝐀𝐋𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐇𝐀𝐋𝐈𝐄𝐔𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒

 Monsieur Hamadé OUEDRAOGO, Mle 87 299 M, Ingénieur d’élevage, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Directeur général de l’Agence Faso abattoirs.

𝐁. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒

 Monsieur Paul YAMEOGO, Mle 39 656 T, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 13e échelon, est nommé Directeur du cadastre ;
 Monsieur Inoussa OUEDRAOGO, Mle 59 861 W, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Conseiller fiscal de Bagrépôle ;
 Monsieur Windlassida Dénis TIEMTORE, Mle 334 206 T, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial des impôts du Ziro ;
 Monsieur Eric OUEDRAOGO, Mle 294 312 Z, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Trésorier provincial du Sanguié.

𝐂. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐒𝐄𝐂𝐔𝐑𝐈𝐓𝐄

 Monsieur Bénéwindé SANKARA, Mle 119 404 P, Commissaire divisionnaire de police, catégorie 1, 3e grade, 3e échelon, est nommé Chargé de mission ;
 Monsieur Cheik Hamed DOUSSA, Mle 217 563 T, Commissaire divisionnaire de police, catégorie 1, 3e classe, 2e échelon, est nommé Chargé de mission ;
 Madame Fenhaï Maïmouna TRAORE/KARAMA, Mle 326 916 N, Attaché en études et analyses, 2e classe, 5e échelon, est nommée Chargée de mission ;
 Monsieur Augustin SAWADOGO, Officier, est nommé Directeur des affaires juridiques et du contentieux ;
 Monsieur Abdel Kabir Saidou SAWADOGO, Officier, est nommé Directeur des ressources humaines de l’Office national de sécurisation des sites miniers (ONASSIM).

𝐃. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐀𝐅𝐅𝐀𝐈𝐑𝐄𝐒 𝐄𝐓𝐑𝐀𝐍𝐆𝐄𝐑𝐄𝐒, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐎𝐏𝐄𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐑𝐄𝐆𝐈𝐎𝐍𝐀𝐋𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐁𝐔𝐑𝐊𝐈𝐍𝐀𝐁𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐗𝐓𝐄𝐑𝐈𝐄𝐔𝐑

 Madame Eliélé Nadine TRAORE/BAZIE, Mle 105 152 F, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 10e échelon, est nommée Chargée de mission ;
 Madame Mariame FOFANA, Mle 59 731 E, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 13e échelon, est nommée Responsable du Programme budgétaire 029 « Coopération multilatérale » cumulativement avec ses fonctions de Directrice générale de la coopération multilatérale ;
 Monsieur Tobignaré Jacques GOUBA, Mle 200 455 P, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Directeur de la promotion de l’expertise nationale ;
 Monsieur Balebyan Bruno TIGNEGRE, Mle 212 444 G, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Premier conseiller près l’Ambassade du Burkina Faso à Addis-Abeba (Ethiopie).

𝐄. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐍𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐐𝐔𝐄, 𝐃𝐔 𝐓𝐑𝐀𝐕𝐀𝐈𝐋 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐏𝐑𝐎𝐓𝐄𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐒𝐎𝐂𝐈𝐀𝐋𝐄

 Monsieur Tégawendé Alfred SIMPORE, Mle 52 964 T, Conseiller en gestion des ressources humaines, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Responsable du Programme 042, « Ressources humaines de l’administration publique », cumulativement avec ses fonctions de Directeur général de la Fonction publique ;
 Monsieur Issa OUEDRAOGO, Mle 216 826 K, Inspecteur du travail, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Directeur régional du travail et de la protection sociale de l’Est.

𝐅. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐔𝐍𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐀𝐑𝐓𝐒 𝐄𝐓 𝐃𝐔 𝐓𝐎𝐔𝐑𝐈𝐒𝐌𝐄

 Monsieur Issaka SALGO, Mle 381 961 E, Conseiller en gestion du patrimoine culturel, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme du Loroum ;
 Monsieur Loukoumane BADOLO, Mle 382 014 W, Administrateur des services touristiques, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme du Kouritenga.

𝐆. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐒𝐀𝐍𝐓𝐄

 Madame Yéri Silvie TRAORE/YOUL, Mle 231 505 K, Médecin de santé publique, catégorie PA, 1ère classe, 5e échelon, est nommée Directrice de la santé et de la famille ;
 Monsieur Mahamadi TASSEMBEDO, Mle 118 892 W, Médecin, catégorie PC, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur de la santé communautaire ;

 Monsieur Doumapoulè Vincent BATIENE, Mle 208 196 J, Médecin épidémiologiste et biostatisticien, catégorie PA, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Secrétaire technique des réformes sur le financement de la santé ;
 Madame Mariam SAWADOGO/BAGAYA, Mle 273 066 D, Pharmacien spécialiste, catégorie P, 1ère classe, 4e échelon, est nommée Directrice de la médecine traditionnelle et alternative ;
 Monsieur Issa KONATE, Mle 245 650 H, Médecin de santé publique, catégorie P, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur régional de la santé des Hauts-Bassins.

𝐇. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐈𝐍𝐃𝐔𝐒𝐓𝐑𝐈𝐄, 𝐃𝐔 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄𝐑𝐂𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐑𝐓𝐈𝐒𝐀𝐍𝐀𝐓

 Monsieur Eric BASSOLE, Mle 119 816 E, Conseiller des affaires économiques, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Directeur général du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO).

𝐈. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐍𝐕𝐈𝐑𝐎𝐍𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓, 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐀𝐔 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐒𝐒𝐀𝐈𝐍𝐈𝐒𝐒𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓

 Monsieur Tidiane NIKIEMA, Mle 203 320 V, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Directeur général des Infrastructures hydrauliques ;
 Monsieur Séré Khironlalimi Félix SOU, Mle 289 075 W, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur du développement des infrastructures hydrauliques à la Direction générale des Infrastructures hydrauliques.

𝐈𝐈𝐈.𝟐. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐄𝐒 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐈𝐋𝐒 𝐃’𝐀𝐃𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

Le Conseil a procédé à la nomination d’Administrateurs aux Conseils d’administration :
 de la Société Faso Transit et Logistique (FTL) au titre du ministère de l’Economie et des finances ;
 de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI) au titre du ministère de la Transition digitale, des postes et des communications électroniques ;
Le Conseil a également procédé à la nomination du Président du Conseil d’administration de la Société Faso Transit et Logistique (FTL).

𝐀. 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒

Le Conseil a adopté deux (02) décrets.
Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs représentant l’Etat au Conseil d’administration de la Société Faso Transit et Logistique (FTL) pour un premier mandat de trois (03) ans.

Au titre du ministère de l’Economie et des finances :
 Monsieur Mamadou SERE, Mle 39 652 W, Inspecteur des impôts ;
 Monsieur Moumouni Guillaume MOUMWE, Mle 49 351 C, Inspecteur principal des douanes.
Au titre du ministère de la Défense et des anciens combattants :
 Monsieur Joanny Blaise ONADJA, Officier.

Au titre du ministère de la Sécurité :
 Monsieur Jean Claude BASSOLE, Mle 111 477 S, Commissaire principal de police.
Au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques :
 Monsieur Alassane NIKIEMA, Mle 03 010 400 225 006 759, Administrateur d’entreprise.
Au titre du ministère de l’Environnement, de l’eau et de l’assainissement :
 Monsieur Abou TRAORE, Mle 117 567 H, Inspecteur de l’environnement.

Au titre du ministère de l’Energie, des mines et des carrières :
 Monsieur Laurent Wendinmi KABRE, Mle 241 883 P, Ingénieur de conception en géologie et mines.
Le second décret nomme Monsieur Mamadou SERE, Mle 39 652 W, Inspecteur des impôts, Président du Conseil d’administration de la Société Faso Transit et Logistique (FTL) pour un premier mandat de trois (03) ans.

𝐁. 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐓𝐑𝐀𝐍𝐒𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐈𝐆𝐈𝐓𝐀𝐋𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐏𝐎𝐒𝐓𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐔𝐍𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐄𝐋𝐄𝐂𝐓𝐑𝐎𝐍𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒

Le Conseil a adopté un décret portant nomination de Monsieur Abdoulaye KIENDREBEOGO, Mle 00 00 012, Spécialiste en passation des marchés, Administrateur représentant le personnel de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI) pour un premier mandat de trois (03) ans.

𝐋𝐞 𝐏𝐨𝐫𝐭𝐞-𝐩𝐚𝐫𝐨𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭,
𝐏𝐢𝐧𝐠𝐝𝐰𝐞𝐧𝐝𝐞́ 𝐆𝐢𝐥𝐛𝐞𝐫𝐭 𝐎𝐔𝐄𝐃𝐑𝐀𝐎𝐆𝐎
𝐂𝐡𝐞𝐯𝐚𝐥𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐫𝐝𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐭𝐚𝐥𝐨𝐧

CAN U17 Maroc 2025 : Les Etalons cadets stoppés en demi-finale par les Aigles cadets

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Les Etalons cadets du Burkina Faso se sont inclinés 2-0 face aux Aigles cadets du Mali le mardi 15 avril 2025 au Stade Laarbi ZAOULI de Casablanca en demi-finale de la CAN U17. Une défaite qui met fin aux ambitions de titre des cadets Burkinabé.

Dès l’entame de la partie, les maliens prennent le contrôle de la balle mais font face à une équipe solide et très volontaire des Etalons qui va rééquilibrer le jeu en se créant des occasions. Les maliens ouvrent le score à la 41e minutes grâce à Soumaïla FANE. Les deux équipes regagnent les vestiaires sur le score de 1-0 pour les cadets maliens.

En seconde période les Burkinabè reprennent avec la détermination de revenir à la marque mais font face à une équipe malienne bien en place. A la 73e minute, les Aiglonnets inscrivent un second but. A 2-0. Les Etalons réduit à 9 vont donner tout sans pourvoir influencer le score à la fin du temps réglementaire.

Pour le Coach Oscar BARRO, cette défaite est due à un manque d’efficacité de son équipe face à une bonne équipe du Mali qui a su scorer au bon moment.

Très abattu, l’heure est à la mobilisation au sein des Etalons cadets pour se relever de cette défaite et aller chercher la médaille de bronze de cette CAN U17. « Nous allons nous mobiliser pour aller décrocher cette troisième place », explique Abdoul Fadil BARRO, Capitaine des Etalons, en fin de match.

DCRP MSJE

CONTRIBUTION A L’EFFORT DE PAIX : LES DIASPORAS BURKINABE DE FRANCE ET DU CANADA CONTRIBUENT A HAUTEUR DE 14 761 000 FRANCS FCA

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(OUAGADOUGOU, 9 AVRIL 2025)

Contribution à l’effort de paix : deux diasporas burkinabè apportent 14 761 000 francs FCA

(Ouagadougou, 9 avril 2025)

Le ministre des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, SEM Karamoko Jean Marie TRAORE, a présidé ce mardi 8 avril 2025, une cérémonie de remise de don, d’un montant de quatorze millions sept cent soixante-un mille francs CFA.

Ce geste qui est l’expression de la solidarité et du patriotisme émane de la diaspora burkinabè de France avec une contribution à hauteur de 11 millions 361 milles francs CFA et celle vivant au Canada avec un apport de 3 millions 400 milles Franc CFA.

Pour les donateurs du jour, ce don est une manière pour eux de reconnaitre l’effort des autorités dans la lutte contre le terrorisme, d’apporter leur pierre à la construction de la nation et de prouver au Gouvernement, qu’ils sont de tout cœur avec lui, dans sa lutte quotidienne pour rétablir la souveraineté totale du pays.

Ils ont saisi cette occasion pour renouveler au Chef de la diplomatie burkinabè leur engagement à multiplier ces genres d’actions en faveur de la mère patrie jusqu’à la victoire finale sur le terrorisme, tout en saluant le leadership de SE le Capitaine Ibrahim TRAORE à la tête de notre pays.

SEM Karamoko Jean Marie TRAORE après avoir reçu et félicité les deux délégations de la diaspora burkinabè, a salué les efforts et le sens élevé du patriotisme des compatriotes.

Il a traduit toute la reconnaissance du Président du Faso, Chef de l’État et des membres du Gouvernement au Burkinabè vivant à l’extérieur pour cet élan de solidarité et de patriotisme en vers leur patrie.

“ Vos gestes symbolisent votre attachement au pays et l’intérêt que vous accordez à la lutte enclenchée par les plus hautes autorités de notre pays” précise le Chef de la diplomatie burkinabè.

SEM Karamoko Jean Marie TRAORE a rassuré la diaspora burkinabè des avancées positives sur le terrain de la guerre et du développement, relevant que tous ces résultats engrangés, sont les fruits de l’engagement de tous les Burkinabè unis pour la préservation de l’intérêt supérieur de la nation.

DCRP/MAECR-BE