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Conseil des ministres du 13 avril 2023 : le gouvernement adopte un décret sur la mobilisation générale et la mise en garde

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(Ouagadougou, 13 avril 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TROARE a présidé ce jour, l’hebdomadaire conseil des ministres, qui a examiné et adopté plusieurs dossiers soumis à son ordre du jour, selon le Porte-parole par intérim du gouvernement, Aboubacar SAVADOGO, ministre des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi.

Au titre du ministère de la Défense et des Anciens combattants, le conseil a adopté un décret portant mobilisation générale et la mise en garde. « Face à la situation sécuritaire à laquelle fait face le Burkina Faso, le salut de la nation repose sur un sursaut national de l’ensemble des filles et des fils en vue de trouver une solution », a indiqué le ministre d’Etat, ministre de la Défense et des Anciens combattants, le colonel-major Kassoum COULIBALY. L’adoption de ce décret portant mobilisation générale et la mise en garde vise à donner à l’Etat tous les moyens nécessaires pour faire face à la situation sécuritaire. Il s’agit surtout à travers ce décret de donner un cadre juridique, légal à l’ensemble des actions à mettre en œuvre pour faire face à la situation que vit le Burkina Faso.

Au titre du ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, le conseil a adopté un ensemble de rapports cumulés pour permettre au Burkina Faso d’être à jour vis-à-vis de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples. Selon le ministre en charge de la Justice et des Droits humains, Mme Bibata NEBIE/OUEDRAOGO, il s’agit de rapports cumulés concernant la période 2015-2021 « relatifs à la mise en œuvre de nos engagements résultants de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, du protocole de Maputo relatif aux droits de la femme et relatif à la Convention de Kampala sur la protection et l’assistance des personnes déplacées internes en Afrique ». L’adoption de ce rapport permet au Burkina Faso de se mettre à jour de la présentation des rapports à la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples et de porter la voix du Burkina Faso en ce qui concerne la mise en œuvre des droits humains dans notre pays devant cette instance africaine.

Au titre du ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières, le conseil a adopté un décret portant conditions d’octroi et de renouvellement d’agrément pour le traitement des résidus miniers au Burkina Faso. Selon le ministre en charge des mines, Simon Pierre BOUSSIM, ce texte permet de codifier le traitement des résidus miniers qui n’avaient pas été pris en compte dans l’arsenal juridique encadrant le secteur minier. « Les résidus miniers concernent les charbons fins, les scories, les concentrés acidiques, la cendre que le traitement au niveau des mines entraine comme rejets. Ces rejets font l’objet souvent d’exportation. Ce décret va permettre de compléter ce vide juridique qui existait en matière de traitement des résidus miniers », a affirmé le ministre BOUSSIM.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Intelligence artificielle : l’UNESCO appelle à mettre en œuvre sans délai le cadre éthique mondial

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Alors que plus de 1.000 professionnels de la technologie ont demandé à une pause dans le développement des systèmes d’intelligence artificilelle (IA), y compris Chat GPT, l’UNESCO appelle les pays à mettre en œuvre sans délai sa recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle.

Ce cadre normatif mondial, adopté à l’unanimité par les 193 États membres de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), prévoit les garde-fous nécessaires.

« Le monde a besoin de règles éthiques pour l’intelligence artificielle : c’est le défi de notre temps. La Recommandation de l’UNESCO sur l’éthique de l’IA définit le cadre normatif approprié, a souligné Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO.

« Nos États membres ont tous entériné cette recommandation en novembre 2021. Il est aujourd’hui urgent que tous transposent ce cadre sous la forme de stratégies et de réglementations nationales. Nous devons traduire les engagements en actes », a-t-elle ajouté. 

La recommandation constitue le premier cadre normatif mondial pour une utilisation éthique de l’intelligence artificielle. Elle est une feuille de route pour les pays, qui décrit comment amplifier les avantages de l’IA tout en réduisant les risques que cette technologie comporte.

À cette fin, le texte comporte non seulement des valeurs et des principes, mais aussi des orientations détaillées de politiques publiques dans tous les domaines concernés.

L’UNESCO est particulièrement préoccupée par les questions éthiques soulevées par ces innovations dans les domaines de la lutte contre les discriminations et les stéréotypes, y compris sur les questions de genre, de la fiabilité de l’information, de la vie privée et de la protection des données, des droits humains et environnementaux.

L’autorégulation de l’industrie n’est manifestement pas suffisante pour éviter ces préjudices éthiques. C’est pourquoi la recommandation de l’UNESCO fournit les outils permettant de garantir que les développements de l’IA respectent l’Etat de droit, évitent les préjudices et garantissent que lorsque des préjudices sont causés, des mécanismes de responsabilité et de réparation soient mis en place et soient faciles à solliciter par les personnes concernées.

La recommandation de l’UNESCO est par ailleurs assortie d’un outil d’évaluation qui permet à chaque État membre de connaître son état de préparation à la mise en œuvre de ce texte. Cet outil permet aux pays de déterminer les compétences et aptitudes requises pour les professionnels du secteur en vue d’établir une réglementation solide de l’intelligence artificielle.

Elle prévoit aussi que les Etats rendent compte régulièrement de leurs avancées et de leurs pratiques en matière d’intelligence artificielle, notamment sous la forme d’un rapport périodique remis tous les quatre ans.

À ce jour, plus de 40 pays de toutes les régions du monde travaillent déjà avec l’UNESCO pour développer ces garde-fous en matière d’intelligence artificielle au niveau national, en s’appuyant sur la recommandation.

Source: www.news.un.org

Burkina-Ligue 1 (J25) : un Fasico sans vainqueur entre Asfa Yennenga et EFO

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La 25e journée de Ligue 1 du Burkina Faso a pris fin ce dimanche soir avec les deux dernières rencontres qui ont vu la victoire de Rahimo FC devant les King’s du Royal FC (2-0) et le match nul entre Asfa Yennenga et EFO pour le derby. L’ASFA Yennenga n’a pas réussi à s’imposer au stade municipal Issoufou Joseph Conombo, face à l’Etoile Filante de Ouagadougou. Ce clasico appelé «Fasico» au Burkina a laissé les supporters sur leur faim à l’issue de ce match nul et vierge (0-0). C’était un match pour le maintien. Ce résultat contente l’Asfa Yennenga, 12e au classement. L’EFO, 15e, doit se battre pour quitter la zone rouge.

Au soir de cette 25e journée, les Gabelous de l’AS Douanes conservent leur première place avec 55 points et ce grâce à leur victoire face à l’AS Sonabel (2-0). Salitas a battu (2-1) Real du Faso et reste deuxième au classement avec 49 points. Victoire également de l’Union Sportive des Forces Armées (USFA) de Ouagadougou contre le Rail Club du Kadiogo (RCK), 1-0. L’ASECK de Koudougou et l’AS Police se sont neutralisés 1-1.

Source: www.sportnewsafrica.com

Burkina Faso : les correspondantes du « Monde » et de « Libération » expulsées

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La rédaction du journal « Le Monde » ainsi que celle de « Libération » dénoncent une mesure « inacceptable » et « arbitraire » après l’expulsion de leurs correspondantes.

es correspondantes des quotidiens français Le Monde et Libération au Burkina Faso ont été expulsées de ce pays samedi soir, ont annoncé dimanche leurs rédactions, qui dénoncent une mesure « inacceptable » et « arbitraire ».

« Notre correspondante au Burkina Faso, Sophie Douce, vient d’être expulsée du pays […] en même temps que sa consœur de Libération, Agnès Faivre », indique Le Monde sur son site. « La sanction est tombée et, avec elle, la confirmation que la liberté de la presse au Burkina Faso est lourdement menacée », écrit pour sa part Libération, en précisant que sa correspondante et sa consœur du Monde sont arrivées « dimanche matin à Paris ».

Lundi, le Burkina Faso, dirigé par des autorités issues de deux coups d’État en 2022 et confronté à une multiplication d’attaques djihadistes meurtrières, avait coupé la diffusion de la chaîne d’information française France 24 sur son territoire. Seuls des médias français ont pour l’instant été ainsi sanctionnés par les autorités burkinabées.

Depuis la prise du pouvoir par le capitaine Ibrahim Traoré le 30 septembre 2022, second coup d’État en huit mois au Burkina, les relations avec Paris se sont dégradées, Ouagadougou ayant réclamé et obtenu le départ de l’ambassadeur de France et des 400 soldats français des forces spéciales basés dans le pays.

Début mars, le Burkina a en outre dénoncé un accord d’assistance militaire signé en 1961 avec la France.

Le Monde « condamne avec la plus grande fermeté cette décision arbitraire » qui a obligé les deux journalistes à quitter Ouagadougou en moins de vingt-quatre heures. « Sophie Douce, comme sa consœur, exerce pour Le Monde Afrique un journalisme indépendant, à l’écart de toute pression », ajoute-t-il.

Le directeur du journal, Jérôme Fenoglio, « demande aux autorités locales de revenir au plus vite sur ces décisions et de rétablir sans délai les conditions d’une information indépendante dans le pays ».

Des expulsions en représailles à des révélations

Selon Libération, « Agnès Faivre et Sophie Douce sont des journalistes d’une parfaite intégrité, qui travaillaient au Burkina Faso en toute légalité, avec des visas et des accréditations valables délivrées par le gouvernement burkinabé. »

« Nous protestons vigoureusement contre ces expulsions absolument injustifiées et l’interdiction faite à nos journalistes de travailler en toute indépendance », ajoute le journal.

Les deux journalistes avaient été convoquées vendredi à Ouagadougou à la sûreté nationale et il leur a ensuite été donné l’ordre de quitter le Burkina Faso dans les 24 heures.

Libération précise « que la publication le 27 mars de [son] enquête sur les circonstances dans lesquelles a été filmée une vidéo montrant des enfants et des adolescents exécutés dans une caserne militaire, par au moins un soldat, avait évidemment fortement déplu à la junte au pouvoir au Burkina Faso ».

« Le gouvernement condamne fermement ces manipulations déguisées en journalisme pour ternir l’image du pays des Hommes intègres », avait écrit le porte-parole du gouvernement burkinabé, Jean Emmanuel Ouédraogo, après la publication de cette enquête, assurant que l’armée agit « dans le strict respect du droit international humanitaire ».

Début décembre, la junte au pouvoir avait déjà suspendu la diffusion de Radio France Internationale (RFI), du même groupe que France 24, France Médias Monde. Jean Emmanuel Ouédraogo avait indiqué que ces deux médias étaient accusés d’avoir « ouvert leurs antennes à des leaders terroristes pour qu’ils propagent l’idéologie du terrorisme, de la violence, de la division ».

Le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF), Christophe Deloire, a dénoncé auprès de l’AFP cette double expulsion « arbitraire, scandaleuse, indigne, qui n’est même pas notifiée par écrit publiquement ».

« Après le renvoi d’ambassadeur, on est dans une logique du renvoi de journalistes comme s’ils étaient une variable d’ajustement des tensions diplomatiques : c’est absurde », a-t-il ajouté, affirmant que « le régime veut camoufler ses exactions ».

Source: www.lepoint.fr

Conseil des ministres du 29 mars 2023 : le gouvernement décide de la reprise des relations diplomatiques avec la Corée du Nord

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(Ouagadougou, 29 mars 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a présidé ce jour l’hebdomadaire conseil des ministres qui a examiné et adopté, selon le Porte-parole du gouvernement, Jean-Emmanuel OUEDRAOGO, plusieurs rapports soumis à son ordre du jour.

Au titre du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, le Conseil a examiné et approuvé un agrément pour la nomination d’un ambassadeur de la République populaire démocratique de Corée auprès du Burkina Faso. Selon le ministre en charge des affaires étrangères, Mme Olivia ROUAMBA, le Burkina Faso a jadis entretenu de très bonnes relations avec ce pays qui était un partenaire privilégié sous la période de la Révolution d’août 1983.

Cette reprise des relations diplomatiques avec la Corée du Nord permettra à ce pays d’Asie de l’Est et au Burkina Faso d’entretenir une coopération bilatérale exemplaire dans plusieurs domaines comme le secteur de la sécurité, à travers l’octroi à notre pays

d’équipement et de matériel militaires, les secteurs des mines, de la santé, de l’agriculture et de la recherche.

Pour le compte du ministère du Développement industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et moyennes entreprises, le Conseil a adopté un rapport relatif au guide de négociations des traités d’investissements et relatif aux traités burkinabè des investissements. Pour le ministre en charge du commerce, Serge PODA, il s’agit d’outils juridiques très importants en matière de négociations des traités sur les investissements entre le Burkina Faso et les autres pays.

« Ces outils juridiques viennent combler le vide qui existait de par le passé au sein du corpus et du cadre de négociations des investissements. Avec leur adoption, le Conseil vient donner à ces cadres de négociations beaucoup plus d’outils qui permettent au Burkina Faso, dans les négociations des traités d’investissements, de tenir compte de l’intérêt général et de la problématique des différends qui pourraient advenir dans l’application de ces différents traités », a indiqué le ministre Serge PODA.

Il a profité lancer un appel à tous les investisseurs, en particulier les Burkinabè de la diaspora qui investissent dans d’autres pays à bien vouloir revenir participer au développement de leur propre patrie.

Au titre du ministère de l’Urbanisme, des Affaires foncières et de l’Habitat, le Conseil a adopté un avant-projet de loi portant promotion immobilière au Burkina Faso. « Il s’agit d’une relecture de la loi actuelle qui régit la promotion immobilière au Burkina Faso et vise à assainir la gouvernance du foncier dans le pays, à préserver nos terres agricoles et à corriger les dérives constatées dans la mise en œuvre de la loi actuelle qui a provoqué l’étalement urbain et l’accaparement des terres en lieu et place de la construction de logements », a souligné le ministre de l’Urbanisme, des Affaires foncières et de l’Habitat, Mikaïlou SIDIBE.

Cet avant-projet de loi contient, selon le ministre SIDIBE, des innovations qui vont permettre d’améliorer l’offre en matière de logement décent au profit de la population.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

 ELIM. CAN 2023 : LE BURKINA FASO TIENT EN ÉCHEC LE TOGO ET VALIDE SON TICKET POUR LA CÔTE D’IVOIRE

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Venu à Lomé pour chercher, au pire, un match nul qui lui permettra de valider son ticket pour la CAN 2023, le Burkina Faso réussit son coup. Vainqueurs du Togo (1-0) lors de la troisième journée des éliminatoires, les Etalons sont parvenus à tenir en échec les Eperviers au Stade de Kégué et obtiennent un nul 1-1.

C’est d’ailleurs les hommes d’Hubert Velud qui ouvrent le score dans ce match par Dango Ouattara à la 12e minute. Piqué, le Togo réagit et égalise par Fo Doh Laba à la 26e minute.

Alors qu’ils avaient besoin d’une victoire pour se relancer, les Eperviers ne parviendront pas à marquer durant toute la deuxième mi-temps et se compliquent la tâche dans ce groupe B qui a vu le Cap-Vert se rapprocher de la qualification cet après-midi en battant l’Eswatini (1-0).

Derniers du groupe avec seulement 2 points, Paulo Duarte et ses poulains doivent absolument gagner les deux matchs restant pour espérer se qualifier.

Quant au Burkina Faso, il est qualifier pour la CAN ivoirienne, prévue en janvier-février 2024.

Source: www.africatopsports.com

Vie de la diaspora aux USA : une délégation des Burkinabè du Nebraska sollicite la création d’un consulat honoraire

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Reçue en audience ce vendredi 24 mars 2023 par M. Hermann Toé, Chargé d’Affaires a.i. de l’Ambassade, c’est une délégation forte de six (6) personnes qui est venue exposer quelques préoccupations chères aux burkinabè du Nebraska.

A entendre leur Porte-parole, L. Sosthène Compaoré, premier Président de l’Association des Burkinabè du Nebraska (ABN), les six délégués sont venus plaider pour la création d’un Consulat honoraire dans le Nebraska.

La seconde préoccupation majeure est la sollicitation d’une mission consulaire de l’Ambassade dans cette zone qui compte officiellement 800 burkinabè (selon un recensement de 2021) mais dont les estimations non officielles avoisinent les 2000 burkinabè.

En plus de ces préoccupations dites majeures, les représentants du Nebraska ont plaidé pour la création d’une forme de faitière des Associations des Burkinabè des USA, au grand bonheur de notre diaspora. Pour étayer leur engagement à faire aboutir ce « rêve », ils ont remis au Chargé d’Affaires de l’Ambassade une proposition écrite.

Monsieur Toé qui avait à ses côtés M. Jean Baptiste Gagré, Deuxième Conseiller et M. Abdoul Aziz Konfé, Deuxième Secrétaire, a salué cette dynamique et encouragé ses visiteurs à la maintenir afin de donner plus de chance à la cohésion au sein de notre diaspora et à l’union sacrée de l’ensembles de la communauté burkinabè des USA qu’il appelle de tous ses vœux.

Il s’est donc montré favorable à la création d’un cadre de concertation, de brassage et d’intégration de notre communauté vivant aux Etats-Unis d’Amérique, de sorte à favoriser l’épanouissement de nos compatriotes partout où ils se trouvent. Pour ce faire il a tenu à encourager les différentes associations à développer des initiatives dans ce sens.

Il a également rassuré ses hôtes que leur requête d’ouverture d’un Consulat honoraire dans le Midwest sera transmise aux Autorités burkinabè pour appréciation.

S’agissant de l’organisation d’une mission consulaire au Nebraska, M. Toé a précisé que les contraintes budgétaires ne permettent pas toujours d’effectuer ce type de missions mais que cette année, l’Ambassade a déjà fait l’effort d’organiser deux missions consulaires au Wisconsin et à Ohio. Il a cependant apprécié la démarche et les propositions faites par les délégués d’appuyer l’Ambassade dans l’organisation de la mission et a pris l’engagement de leur apporter une réponse dans les jours à venir.

Avant de prendre congé, L. Sosthène Compaoré et ses camarades ont félicité l’Ambassade pour non seulement la qualité du service rendu aux usagers mais aussi les efforts fournis ces dernières années pour être plus proche de nos compatriotes. Ils ont souhaité que des missions d’échanges et de formations sur le rôle et les attributions de la Représentation diplomatique du Burkina Faso aux Etats-Unis d’Amérique soient régulièrement menées dans les États à forte concentration de burkinabè.

À cette audience étaient présents cinq anciens Présidents de l’ABN et le Président en exercice.

Service Communication et Relations Presse

Ambassade du Burkina Faso à Washington DC

Lutte contre le terrorisme : la Banque mondiale exprime sa disponibilité à accompagner la Transition

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Le lundi 27 mars 2023, Son Excellence Monsieur le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a accordé une audience au vice-président Afrique de l’Ouest et Centrale du Groupe de la Banque mondiale, Ousmane DIAGANA. Présent au Burkina Faso dans le cadre d’une mission dans la sous-région, le vice-président Afrique de l’Ouest et centrale du Groupe de la Banque mondiale, a échangé avec le Chef de l’Etat sur les crises que connaît le pays.

Ousmane DIAGANA a déclaré avoir exprimé la solidarité de son institution au Burkina Faso qui fait face à une crise sécuritaire et son corollaire, la question humanitaire. « Nous avons exprimé à son Excellence monsieur le Président de la Transition, la disponibilité de la Banque mondiale en tant que partenaire au développement du Burkina Faso, à œuvrer avec le pays pour, ensemble, juguler les conséquences néfastes de ces crises notamment sur les populations et sur l’économie en tant qu’institution économique et financière », a-t-il expliqué.

Ce fut une occasion pour le vice-président de s’enquérir, avec le Chef de l’Etat, des indicateurs actuels sur notre pays en matière économique ainsi que de la situation humanitaire. « Vous savez que le Burkina Faso est un pays qui a des potentialités extrêmement importantes et quand l’insécurité est là, ces potentialités sont difficiles à transformer en programme de développement », a ajouté Ousmane DIAGANA.

Selon lui, le Président de la Transition lui a, en retour, expliqué clairement sa vision, et les actions qui sont en cours sur le terrain pour venir à bout de la crise sécuritaire et de la question humanitaire.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Arrivée au Ghana de Kamala Harris, première étape de sa tournée africaine

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US Vice President Kamala Harris (R) addresses the crowd after arriving at the Kotoka International Airport in Accra, Ghana, on March 26, 2023. - US Vice President Kamala Harris starts a three-country tour of Africa, promoting the White House's positive vision of the continent as the "future of the world." Harris' trip to Ghana, Tanzania and Zambia is the latest salvo in deepening US engagement with a continent largely ignored under Republican Donald Trump -- and long viewed in Washington as more of a problem area than a land of opportunity. (Photo by Nipah Dennis / AFP)

Après une première étape ouest-africaine, la vice-présidente se rendra en Afrique australe, en Tanzanie puis en Zambie, jusqu’au 2 avril.

La vice-présidente américaine Kamala Harris est arrivée, dimanche 26 mars, au Ghana, première étape de sa tournée dans trois pays d’Afrique qui vise à renforcer les liens diplomatiques de Washington avec le continent.

Sa tournée au Ghana, en Tanzanie et en Zambie, prévue jusqu’au 2 avril, intervient après un sommet Etats-Unis-Afrique en décembre 2022 à Washington, au cours duquel le président Joe Biden a plaidé pour créer un vaste partenariat avec l’Afrique, au moment où les Etats-Unis cherchent à affirmer leur présence sur le continent face à l’influence croissante de la Chine et de la Russie.

Accompagnée de son mari Douglas Emhoff, Kamala Harris a été accueillie à l’aéroport d’Accra par le vice-président du Ghana Mahamudu Bawumia et de hauts responsables. Des danses traditionnelles au son de tambours et des élèves agitant de petits drapeaux du Ghana l’attendaient à sa descente d’avion.

« Nous avons hâte de faire de ce voyage une nouvelle affirmation de la relation et de l’amitié durables et très importantes entre le peuple des Etats-Unis et ceux qui vivent sur le continent africain, a déclaré Kamala Harris à son arrivée. Je suis très enthousiaste quant à l’avenir de l’Afrique. Je suis très enthousiaste quant à l’impact de l’avenir de l’Afrique sur le reste du monde, y compris les Etats-Unis. »

Crise économique

Elle devrait aborder au cours de sa visite la crise climatique, l’amélioration de la sécurité alimentaire et la hausse des investissements sur le continent, a-t-elle indiqué.

La vice-présidente américaine devrait rencontrer des entrepreneurs, des étudiants, des femmes et des agriculteurs. Elle doit aussi visiter une ancienne plaque tournante de la traite des esclaves, le fort de Cape Coast (sud).

Elle s’entretiendra en outre avec le président Nana Akufo-Addo et rencontrera des représentants de la société civile. Elle doit quitter le Ghana mercredi pour la Tanzanie.

Le Ghana est confronté à une crise économique avec une inflation de plus de 50 % et une baisse de la monnaie locale, le cedi, touchée par les effets de la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine.

Le Ghana a conclu un accord de 3 milliards de dollars (2,78 milliards d’euros) de crédit avec le Fonds monétaire international (FMI) et est également en pourparlers avec la Chine sur ses problèmes économiques.

Source: www.lemonde.fr

Qualification CAN 2023 : Les Étalons toujours leaders en battant les Eperviers du Togo (1-0)

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Un grand pas franchi pour la qualification à la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2023. Les Étalons du Burkina Faso ont battu (1-0) les Éperviers du Togo ce vendredi 24 mars 2023 au Grand Stade de Marrakech dans le cadre de la troisième journée des éliminatoires. Il a fallu attendre en fin de rencontre pour voir Abdoul Fessal Tapsoba marquer le but de la victoire et s’ouvrir le chemin pour une 13e qualification à la CAN.

Source: burkina24.com